« Il faut de la croissance », qu’ils disent…
Par défautQuand on est contributeur à la plus grande carte collaborative du monde qu’il existe, à savoir OpenStreetMap, on modifie en permanence le territoire en fonction des nouvelles versions :
- du cadastre (actuellement en version 2018 pour Lyon)
- des photos vues du ciel, autrement appelées OrthoPhotos, actuellement en version 2015 (voici celles prises par un drone au dessus du Théâtre de Fourvière à Lyon. Elles ont une résolution d’1cm ! et on voit même le pilote du drone…)
Sur cette animation que j’ai réalisée, on voit clairement les effets de la croissance… Toujours plus de maisons individuelles au détriment des zones agricoles. Est-ce tenable sur le long terme ?
A noter que je n’ai jamais eu à faire l’inverse…
Ici commence la Mer…
ImageBien vu et c’est à Flavin en Aveyron !
Si Fifi Fécaca…
ImageVilleurbanne fait une campagne d’éco-citoyenneté en direction des maîtres de chiens, et c’est plutôt réussi ! Vous aurez noté la couleur bleu avec la maman et le rose avec le papa…
Les outils éthiques pour une AMAP (ou une association)…
Par défautÉtant président d’une AMAP, il est un constat perturbant… Environ 80% des amapiens utilisent une adresse Gmail et quasiment toutes les AMAP utilisent les outils Google pour l’administration de leur association. Force est de constater que le ‘Numérique Éthique’ est, pour beaucoup, bien plus compliqué à utiliser que de manger local, éthique, respectueux de l’environnement ; ce qui est le rôle premier d’une AMAP (au passage, je rappelle qu’une AMAP est une association, avec uniquement des bénévoles, qui met en lien des producteurs locaux, souvent bio, avec des Amapiens. Ces derniers viennent chercher leurs paniers chaque semaine sur le lieu de distribution. Ce n’est pas une Ruche qui dit Oui, qui est une sorte d’Uber de l’AMAP…).
De mon point de vue, utiliser les outils Google est assimilable à aller toutes les semaines dans un hyper-marché pour se nourrir. Alors pourquoi les amapiens et les associations AMAP utilisent aussi massivement les outils de Google ? J’ai mes réponses, elles sont nombreuses, mais ce n’est pas le but de l’article. Je vais donc donner ici des pistes pour essayer de consommer le Numérique de manière éthique et en respectant les données personnelles des Amapiens (qui, on l’a vu, sont pour 80% déjà sur Google 🙁 mais les autres sont souvent, justement, sur des alternatives…).
Je tiens à préciser que j’ai aussi dégooglisé mon AMAP, c’est donc aussi un point d’étape !
Les outils de communication nécessaires
Une AMAP, comme beaucoup d’association, a besoin d’un certain nombre d’outils :
la suite…Géolocalisation – Extraits de ‘Nothing To Hide’
VidéoPour les besoins d’un nouvel enseignement (Sciences Numériques et Technologie) en classe de seconde l’année prochaine, j’ai réalisé un petit montage issu du très bon film ‘Nothing to Hide’.
J’ai centré la vidéo sur la thématique de la Géolocalisation et des Méta-Données (ce sont des informations qui accompagnent les photos, les messages ou les vidéos sur internet). La géolocalisation et la cartographie est une des 7 thématiques de ce nouveau programme.
Ainsi, on suit MisterX, un clubber Berlinois, qui n’a rien à cacher et qui se prête au jeu de se faire espionner son smartphone et son ordinateur personnel pendant 5 semaines.
Je vous laisse découvrir la conclusion en images…
Game Of OS !
Image/e/, le Android qui respecte votre vie privée !
Par défautHier, j’ai récupéré un vieux portable, un Motorola Moto G en version 4G. Il était à bout de souffle comme beaucoup de vieux appareil. J’ai décidé de lui donner une seconde vie mais sans aucune applications Google !
Pour cela, j’ai opté pour le tout nouveau système d’exploitation français mis au point par Gaël Duval, un entrepreneur français. Son nom, pas facile à prononcer au demeurant : /e/
On trouvera des informations sur leur site internet bien fourni et qui explique bien le concept : https://e.foundation/?lang=fr
la suite…La Marque du Consommateur…
Par défautIl y a quelques mois, suite à une émission sur France Inter, je suis devenu, pour la modique somme de 1€, sociétaire de La Marque du Consommateur, vous savez, ces briques de lait bleues pas très jolies :
En fait, le cahier des charges est fixé par les consommateurs. Cette semaine, j’ai donc reçu un courriel pour fixer le nouveau cahier des charges de saucisses de type Chipolatas. On choisit les critères et en fonction, le prix évolue. Plus c’est local, bio, naturel et plus c’est cher… Voici donc les critères que j’ai choisi pour ces futures saucisses :
On constate donc que les barquettes seront vendues 4.88€ si les mêmes critères que moi sont retenus. C’est un processus démocratique hyper transparent ; c’est pour moi, une vraie révolution car bien entendu, les éleveurs sont payés le juste prix !
Bon, pour info, nous sommes plutôt consommateurs de viandes BIO mais que l’on prend dans notre AMAP 🙂
77 kms dans les 3 Vallées
Par défautAujourd’hui, depuis Val-Thorens, nous avons décidé d’aller pique-niquer à Courchevel. Nous sommes partis de la station à 9h15 et sommes rentrés vers 16h ! Nous voici, ci-dessous, sur le télésiège de l’Aiguille du Fruit dans le secteur de Courchevel 1650, à l’extrême opposé de Val-Thorens. Un magnifique endroit, ambiance un peu américaine, et surtout avec des sapins qui manquent en haute altitude.
Ce matin, en partant, je n’ai pas oublié de lancer le GPS de mon téléphone et j’ai enregistré notre trace avec l’application OSMAnd (le couteau suisse du GPS, navigation et cartes, tout ceci gratuit et basé sur OpenStreetMap). C’est donc grâce à cette trace (au format GPX) que j’ai pu constater que nous avions parcouru 77 kilomètres à ski mais aussi télécabines, téléphérique et télésièges.
J’ai pu importer cette trace et donc voici le détail du parcours avec les passages réalisés classés par ordre (on peut cliquer sur les épingles) :
Edit : en bleu, la trace du Jeudi 28 février, 72 km cette fois-ci où nous avons poussé plus loin à Courchevel 1650.